• On a sûrement du être un peu trop optimiste au départ en se disant que le décalage horaire tombait bien et qu'on aurait qu'à se coucher tôt (heure locale) et faire une bonne grosse nuit de 8-10 heures pour que dès le lendemain matin tout le monde se lève au top de sa forme pour attaquer la première journée des vacances.
    Au lieu de ça, les réveils des uns et des autres se sont joyeusement étalés de 4h30 à 6h30 du mat.
    Seul point commun à tous : la faim .

    Aujourd'hui, au programme : prise de contact avec Lima.
    Destination n°1 : le Pacifique. On commence donc la journée par une bonne balade dans les rues de Miraflores (quartier où nous logeons).
    Voilà un petit florilège des rues et façades que nous croisons. Chaque accès aux maisons et appartements fait l'objet d'une "sécurité" particulièrement présente.

     

    Rue de Miraflores

    Façade Lima

     

    Et comme la marche à pied ça creuse, on se dirige tout naturellement vers un bon petit restaurant avec vue sur le Pacifique appelé "Mango". C'est l'hiver mais c'est pas du jus de navet qui nous coule dans les veines... alors hop, tous en terrasse pour un très bon repas (tellement bon que j'ai même pas eu le temps de prendre les assiettes en photo) dégusté bercés par le bruit des vagues.
    La vue et superbe !
     

    Vue sur Pacifique du Mango


    C'est donc plein d'énergie que nous reprenons la balade alors qu'une sorte de brume océanique s'installe dans les rues. Rues dans lesquelles il vaut mieux être assez attentif car la circulation est parfois importante ce samedi. En plus, l'habituelle "priorité aux piétons" de chez nous n'a pas cours ici. Comme preuve, ces indicateurs lumineux aux passages piétons accompagnés de... comptes à rebours ! 
     

    il est vert

    il est rouge

    Bien sûr, tout n'est pas aussi dangeureux dans cette ville. Et si la traversée d'un boulevard vous a mis en stress, rien de tel qu'un bon petit massage sur le pouce (bon, là c'est plutôt sur le ventre ).
    Pas certain que Claude et Wanda aient eu si peur mais ils se laissent tenter tout de même. 

    Massage claude & Wanda

    On peu maintenant reprendre tranquillement la route de nos appartements, en passant notamment devant ce qui ressemble beaucoup à un centre de soin au nom très inspiré quoique peu dépaysan.
     


    Et en plus ils recrutent une manucure, avis aux intéressé(e)s  

     


    7 commentaires
  • Après près de 20h de voyage tout de même, nous y sommes enfin.
    Bon, là tout de suite, on va surtout aller se coucher parce que même si ici il est 19h, ça nous fait gentillement du 2h du mat de chez nous.
    En clair, la fatigue commence à se faire sentir maintenant que nous sommes réveillés, en route, en transit, en partance depuis... 22h.

    Tout avait bien commencé par un taxi qui arrive à l'heure et 50 minutes de TGV pour rejoindre l'aéroport CDG terminal 2F.
     

    TGV -> CDG


    Nous survivons à l'embouteillage monstre de l'embarquement et nous passons surtout entre les mailles des filets des hotesses Air France qui essaient de faire partir le lendemain ceux que ne gènerait pas.
    Ah, la magie du surbooking !

    C'est au final avec une bonne heure de retard que nous décollons à destination de Lima.
    Il était temps, les enfants étaient à bout de patience devant les écrans console/radio/VOD/MP3/etc de notre Boing 777.
     

    Touch it


    12 heures de vol très paisible plus tard, nous survolons enfin le pérou et comme aucun de nous n'est à un hublot, c'est à de sympathiques voisins de cabine que nous devons cette jolie photo des Andes vues du ciel (comme dirait Yann Arthus-Bertrand )
     

    Les Andes vues du ciel
     

    Nous touchons enfin le sol péruvien en sortant de l'aéroport Jorge Chavez (sûrement de la famille de l'autre) pour "vite" prendre possession des appartements qui nous attendent à Miraflores.
     

    Aéroport Jorge Chavez


    C'est notre première expérience de la "pratique" automobile en amérique du sud, et on n'est pas déçu.
    Coups de klaxon, appels de phares, changements de files incessants... le tout sans jamais passer la 4è en 1 heure de route, "Jo(rg)e le taxi" nous a particulièrement enthousiasmé !
    Accordons-lui tout de même les circonstances atténuantes car franchement, il ne faisait rien de bien différent de tous les autres 

    Je ne sais pas ce qu'on fait demain, mais personnellement, j'irai bien à pieds.

     

     


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